Petits contes du "multiculturalisme" ordinaire.
Une jeune fille de ma connaissance mange un kébab avec son ami. Au moment de régler, elle sort sa carte bleue. "Non", lui assène le patron, "C'est pas la femme qui doit payer."
Mauvaise nouvelle pour notre faux galant/vrai pénible, il est tombé sur une grande-gueule qui lui a proposé d’appeler les flics, pour voir si oui ou non elle pouvait payer.
Recul immédiat du type qui, à mon humble avis, craignait plus une perquisition dans sa cuisine qu'un blâme pour misogynie.
Le pluriel à mon titre, je le justifie en vous redirigeant vers cet article. Bien sûr, je n'y étais pas... mais si il y a seulement une moitié de vérité dans les mots de l'auteur, c'est très intéressant.
Edit : ajout d'un article avec beaucoup de photos.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Oh chic, tu reblogues :)
RépondreSupprimerTu m'avais caché ça ^^
Bon retour donc.
En ce qui concerne ta première anecdote, il apparaît en effet que la cause sera de mieux en mieux servie par les girls-just-wanna-have-fun-ET-payer-avec-leur-carte et par les dégusteurs de saucisson. Depuis le temps que je me tuais à le dire aux jargonneurs métapolitiques, acharnés contempteurs du peuple normal, à leurs yeux trop apolitique, trop festivo-nihiliste...
(Oui, au fait, je serai dorénavant Rominet, j'ai vu qu'il y avait un autre Félix qui sévissait sur les blogs de la mouvance, donc bon.)
De la part du vendeur, c’était peut-être un petit test pour jauger le degré de dhimmitude de la clientèle (c’est fou ce qu’on peut se permettre maintenant…) Peut-être faisait-il une étude statistique…
RépondreSupprimerSi c’est le cas, la "grande gueule" de votre connaissance a, hélas, suffi à pour éviter que les boboïdes aplaventrées fassent 100% de son échantillon…
Mais c'est vrai, ça : depuis quand c'est les gonzesses qui paient ?
RépondreSupprimer(Un kebab, en plus, pfff...)
"...mais si il y a seulement une moitié de vérité dans les mots de l'auteur, c'est très intéressant. "
RépondreSupprimerMoitié de vérité ??
Pour la peine, hop, sur la blogliste de Préémigration, ça vous apprendra à douter des camarades réacs.
Amicalement,
Rominet : Je ne cache rien, je teste pour voir si mes amis fidèles sont réellement fidèles !
RépondreSupprimerPlouc-émissaire : Peut-être, mais je ne suis pas convaincue... La plupart des filles que je connais auraient réagi, en tout cas.
Didier : Eh oui, c'est la décadence.
Nico : Les réacs sont habitués à ce qu'on doute d'eux ! Ça les panique quand on les écoute, et après ils perdent tous leurs moyens...
Tiens, un truc amusant aujourd'hui.
RépondreSupprimerDans l'affaire du jeune qui a insulté Sarkozy à la Courneuve :
Selon une première version, rapportée par le syndicat de police Alliance, l'homme aurait lancé au chef de l'Etat "Va te faire enculer connard, ici t'es chez moi". Mais le cameraman de France 3 a une autre version : le jeune homme aurait dit "suce-moi".
On se souvient du "Va te faire enculer, sale fils de pute" lancé par Anelka à Domenech, dont il fut rapidement révélé que "ce n'étaient pas ses mots exacts".
Evidemment qu'ils ne parlent pas comme ça. J'ignore les termes exacts employés dans l'une ou l'autre affaire, mais on sait bien que leur registre ordinaire est quand même plutôt à base de "ta mère la pute, la chatte à ta mère, la chatte à ton grand-père, attention chui un bonhomme, nique ta mère sur le Coran de la Mecque".
Marrant de voir comment les organes du système prennent soin de traduire tout ça en argot français conventionnel :D
Tentative de masquer le fait qu'il y a bel et bien, aujourd'hui, deux populations distinctes, qui ne parlent plus la même langue ?
Heureuse de vous retrouver : )
RépondreSupprimerTiens, qu'est-ce que je vous disais :
RépondreSupprimerhttp://www.fdesouche.com/123629-les-propos-danelka-etaient-pires-que-ceux-rapportes
Dans les comms de Desouche, certains commencent à se demander si les insultes en question ne comportaient pas, par hasard, une dimension raciste qu'on aurait tu à dessein.