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lundi 4 janvier 2010

De la métissophilie, mais surtout de ses contradicteurs.

Cela fait un moment que j'ai délaissé ce blog, et je crains que ça ne s'arrange guère dans les mois à venir. Mais je passe tout de même, pour vous souhaiter à tous une bonne année 2010. Santé, vin, saucisson, etc.

J'ajoute en cadeau (si, c'est un cadeau!) un texte, même si c'est du réchauffé : il s'agit du contenu à peine modifié d'un email que j'avais envoyé à Brisby, il y a de cela quelques mois. A l'origine de ce mail, une crise de colère de Brisby qui avait lu - la pauvre - les commentaires postés sur desouche au sujet de la chanson "elle sort qu'avec des blacks". Voilà, donc, ma réponse :


Moi non plus, je ne supporte pas cette mentalité de "toutes les filles qui ont couché avec un noir, on les enverra en Afrique avec eux QUAND ON AURA LE POUVOOOOIR". On sent bien la frustration sexuelle derrière. On pourrait leur faire remarquer qu'apparaître comme aigri, frustré, revanchard et complètement mis en danger dans sa virilité n'est pas le meilleur moyen d'inverser cette tendance qu'ont ces filles à aller vers les noirs, mais ce serait de l'acharnement thérapeutique.

Et évidemment les "divers" le savent et se gargarisent de "sale raciste, reste tout seul et fermé sur toi même pendant que je me tape des blanches". (Oui, je l'ai lu.)

Donc d'un côté, "ouvrez vous à la tolérance comme moi j'ouvre les cuisses de vos copines", et de l'autre, "ouiiin, mes femelles! Sale pute, tu me paieras d'avoir préféré Mamadou en ce tragique janvier 2004!". Tout cela est charmant.

C'est une chose quand il s'agit des métissophiles... après tout, on pourrait se dire qu'elles l'ont choisi, qu'elles voient elles même cette vie sexuelle comme un grand acte de défi au racisme; donc elles ne seraient peut être pas surprises de découvrir que oui, effectivement, ça marche, ça rend les "racistes" fous de rage.

Mais c'est beaucoup plus grave quand il s'agit de victimes de viol. Ouais, même une fille de 15 ans qui se fait choper par toute une bande dans la cave peut avoir droit, en guise de compassion, à "elle avait sûrement couché avec l'un d'entre eux, elle le méritait." Et souvent d'ailleurs c'est vrai, on sait bien qu'une des méthodes habituelles dans ce genre de pratiques, c'est qu'une fille accepte de sortir avec un garçon, et puisqu'elle couche, il considère qu'il peut la partager avec tous les copains, ou même la prostituer.

Tout ça pour dire que les machistes bien de chez nous ou les muzz ont sur ce point le même schéma mental. Et c'est encore plus grave de la part des français qui seraient censés faire preuve de pitié envers "leurs Soeurs", comme ils le disent si bellement : mais non, ils n'ont de soeurs que celles qui se sont gardées pures pour un blond aux yeux bleus et qui ont "bien voté".

Je lisais dans le livre Riposte Laïque (avant de le laisser tomber) une analyse des liens entre le FN et l'Islam. L'analyse n'était pas parfaite mais je n'en nie pas le point central: beaucoup de frontistes et autres excités se réjouissent que, au moins, les musulmans viennent remettre les femmes/athées/etc à leur place.

D'ailleurs, qui en France, de nos jours, fait des tags avec des signes nazis? Deux types de personnes: soit des skinheads... Soit des musulmans. Petit indice: quand c'est sur une mosquée, c'est pas des musulmans. (Je crois.) Ailleurs, les paris sont ouverts.

Mais c'est comme ça, il y a des connards partout. Je viens de dire que j'ai laissé tomber le livre de riposte laïque, écrit en majorité par des femmes de gauche. Dans ce livre, certains travers de fdesouche étaient complètement absents, évidemment... mais d'autres les remplaçaient.

On ne peut pas faire grand chose d'autre qu'avoir notre voix à nous, en attendant que quelqu'un nous dise quelles sont nos propres fautes.

19 commentaires:

  1. Mais pourquoi diable est-ce que vous perdez votre temps sur les commentaires de Desouche ? Bien sûr qu'il y a là le summum de la médiocrité réac. Bien sûr que c'est là que les machos puceaux et que les analphabètes débiles viennent déverser leurs torrents de haine et de médiocrité. Bien sûr que ce sont eux, plus que n'importe quel article du Post ou de Rue89 qui font le plus de mal à la réacosphère. Vous ne vous en étiez pas rendu compte ?
    Laissez les médiocres patauger dans leur crasse Clarissa, vous valez trop pour perdre vos neurones à essayer de décrypter leur sous-langage d'arriéré.

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  2. Je ne sais pas comment les quelques femmes qui semblent commenter régulièrement sur Desouche font pour supporter les quolibets lamentables dont elles sont les cibles. Plus généralement, j'ai lu quelque part que la plupart des bons commentateurs de ce blog finissaient par renoncer face à l'afflux de conneries. Mais n'est-ce pas un passage obligatoire pour tout site connaissant un certain succès ? Regardez Causeur.fr ; au départ, on pouvait assister à d'intéressants échanges. Aujourd'hui, c'est une bouche de métro.

    Cela posé, une question de fond demeure, de manière plus générale, et peut-être plus profonde. Pour le dire simplement, qu'est-ce que les hommes blancs - pardon pour la grossière généralité, mais je ne doute pas que vous compreniez grosso modo de quoi et de qui il s'agit ici - ont à proposer à leurs femmes en terme de "valeurs", aujourd'hui ? Plus généralement, comment devenir un homme "solide" aujourd'hui, quand on est un petit blanc issu de la non-pensée globalisante de gauche ? Comment le jeune blanc perdu dans sa frustration de victime du post-féminisme peut-il ne pas envier le jeune fils d'immigrés viril jusqu'à la sordide brutalité ?

    Qu'est-ce qu'un homme européen en 2010 ? Soyons honnêtes : pas grand chose. Un ancien bourreau, un nouvel ennemi, un futur sacrifié sur l'autel de l'avenir radieux du multiculturalisme métissé. Un tigre auquel on a arraché ses griffes. Et qui miaule pathétiquement. Un vaincu, en somme.

    A mon avis, c'est davantage ce sentiment de défaite douloureuse qui frustre la plupart des (jeunes) commentateurs souchiens. Le mépris pour les femmes est une façade.

    Je lisais sous la plume d'un franco-kabyle une phrase qui disait quelque chose comme "Il est hallucinant de voir qu'une blanche qui se promène en France au bras d'un noir ou d'un arabe ne risque absolument rien. Dans la plupart des cas, elle sera admirée et enviée. Alors qu'une arabe ou une noire qui se promène au bras d'un blanc en terre islamique ou en Afrique risque au minimum le regard haineux et l'insulte éructée, au pire l'agression physique pouvant avoir de graves conséquences".

    Ma petite amie me racontait récemment qu'une de ses copines de fac, maquée avec un arabe, ne pouvait pas s'empêcher, sans raison particulière, de déclarer spontanément, sans artifice aucun, comme si de rien était, de désarmants "Moi, j'adore les noirs. Je ne sais pas pourquoi, mais j'adore les noirs. Je ne peux pas l'expliquer".

    Le jeune homme blanc doit se construire avec ça. L'avenir est tout entier dans le creux du ventre des femmes. Et ça les quelques souchiens conscients mais criminalisés par le régime le savent. Les mâles immigrés aussi. En revanche, la masse des mâles européens paumés l'ignore.

    Plus les décennies vont passer, plus il va être difficile pour les générations d'hommes blancs à venir de s'assumer en tant que tels. Question d'idéologie dominante comme de démographie.

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  3. Anthony, pour une fois ce n'était pas moi qui m'infligeais les commentaires! Mais ça m'arrive de les lire, parfois, au cas où quelqu'un aurait dit quelque chose d'intéressant sur un sujet que je connais mal. Ou alors pour voir ce que les gens vont pouvoir trouver à redire à quelque chose qui me paraît génial. Si je n'étais pas un peu masochiste, je ne lirais pas desouche et d'autres blogs qui annoncent la fin de notre monde, de toute manière...

    Hank, j'aimerais avoir quelque chose de plus malin à répondre que "je suis d'accord", mais pour le moment je ne trouve pas!

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  4. J'ajouterai quand même que cette attitude n'est pas présente uniquement chez le commentateur "de base" de desouche. Je pense qu'on retrouve parfois la même, intellectualisée, chez des gens bien plus malins, ce qui m'inquiète peut être plus.

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  5. Vous parlez d'Alain Soral, dit le degré zéro de la pensée ? ;)

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  6. Plutôt à des blogueurs. Alain Soral était déjà descendu assez bas dans l'amour de l'Islam quand j'ai débarqué dans la réacosphère pour que je ne m'intéresse jamais à lui. Ce qui peut-être un tort d'ailleurs, je devrais, c'est une des facettes du problème.

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  7. Je ne commente pas chez desouche. Je ne me frotte pas le militantisme contre le Coran et je ne tague pas non plus les mosquées. Je ne suis pas un célibataire frustré. Et avant qu'on me la sorte, NON, je ne trouve pas que le viol entre gens de même teinte c'est sympa, et je ne confine pas ma gonzesse dans le coin cuisine de ma grotte afghane - avec son caractère, elle serait capable d'apprendre à cuire un oeuf pour m'empoisonner au passage...

    MAIS, ô mystère, je comprends mal qu'on puisse éprouver la moindre sorte de compassion pour les femmes qui fricotent avec des allogènes. Quand j'entends que Sidonie s'est fait écrabouiller par Ugr-Kloum-Kloum après six mois de relation sans nuages, ça me donne envie de prolonger l'apéro.

    C'est macho ? Tant pis. Ca me place au même niveau que les crouilles ? M'en cogne. Les bouffeuses de mélanine se contentent de merles faute de grives, comme l'explique Hank ? Trahison quand même. Si on gerbe les appels au métissage, on peut et l'on doit mépriser celles qui y répondent.

    Le jour où les toubabs se remettront à faire des gosses entre eux (oui, j'y travaille) et où les européennes accorderont plus d'importance à leur descendance qu'à leur budget coiffeur et sac Vuitton, on pourra être plus coulants. Pour l'instant, nous sommes en train de disparaître, de nous auto-génocider, d'accepter de nous faire exproprier de nos terres. A conditions extrêmes, réactions extrêmes.

    Enième précision : même mépris dégoûté pour les gros boeufs qui se tapent de la bronzée des îles, les poids-plume qui se fournissent en Asie, les losers qui font connaissance avec leur femme dans des trappes-à-cul. J'essaie d'avoir la décence d'être cro-magnon, pas raffiné et ultra-puriste jusqu'au bout, sans autoriser pour les mecs ce qui me révulse chez les femmes.

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  8. Il ne faut pas se mentir, la femme est l'enjeu suprême, surtout à moitié nue en 4 par 4 tous les 50 mètres dans les rues de toute l'Europe. C'est peut-être moche à entendre quand on en est une, mais ça reste vrai. Quiconque éteint sa télé pour porter une oreille attentive à ses instincts, ne serait-ce que quelques minutes, le sent, le devine, le sait. La finalité du "combat", s'il en demeure un, est là. Le cul de la femme blanche. "Je baise des femmes blanches" : le trophée ultime, le symbole de la revanche pour l'ex-spolié du tiers-monde. Les femmes ont le pouvoir en Occident. Il tombera un déluge sur le vieux monde blanc si ça leur chante ; il suffira de définitivement se refuser à ces abrutis de toubabs. Et l'homme blanc fermera sa gueule, sinon c'est la case prison, la mort sociale, les mauvais regards sur le raciste ranci et fermé-à-l'altérité. "Faiblesse !", se félicitent les nouveaux protégés de ces dames. Et de leur péter la gueule, aux petits blancs. De leur prendre ce qu'ils ont, en et se payer le luxe de le faire au nom de la tolérance. La volonté de puissance des vainqueurs contre la honte des vaincus. Les femmes sentent ça. Elles préparent l'avenir.

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  9. Pour le dire de manière très simpliste, je pense que ces filles ont tort, je ne pense pas que mon message donnait l'impression contraire. Mais analyser et condamner le mouvement d'ensemble et avoir des bouffées de haine meurtrière contre des cas individuels, c'est différent. En fin de compte, cette chanteuse, elle a juste écrit son texte sans même se rendre compte de ce qu'il représentait - moi je sais ce qu'il représente et ça me rend nauséuse - mais elle ne mérite pas la mort pour ça.

    Pour faire une comparaison qui vaut ce qu'elle vaut, j'ai une opinion bien tranchée sur la valeur du vote ump ou ps (et autres)... Mais je ne souhaite pas à des gens de se faire casser la gueule pour avoir été naïfs, ou idéalistes, ou conformistes, etc.

    Les explosions de haine de ce genre, je comprends d'où ça vient (comme je comprends aussi d'où vient l'envie de sortir avec un divers!). Je pense effectivement que ça revient à se placer au même niveau, et si les hommes blancs se placent au même niveau que les autres, les femmes iront encore plus vers les futurs vainqueurs. C'est un cercle vicieux. Il n'y a qu'en représentant quelque chose de plus noble qu'ils ont une chance, en tout cas c'est mon impression.

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  10. La question, finalement, c'est celle-ci : comment survivre collectivement dans la jungle à venir sans renier ce que nous sommes ?

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  11. Sombrer temporairement dans la barbarie pour ne pas se faire manger par des cannibales, est-ce un reniement de notre civilisation ? Où est passé le beau, l'exaltant, le mythe inspirateur par excellence du BERSERKER ?

    Il est normal de ne pas vouloir s'abaisser au rang de la laideur et de la stupidité qui menace de nous submerger. Reste à déterminer la limite entre respect de soi-même et pudibonderie. Il y a des méthodes qui salissent ceux qui y recourent - et des situations qui exigent qu'on choisisse entre éviter la crasse ou éviter la taule. Les décennies à venir vont être moches, mais alors très moches. Si nous avons encore la force de créer un peu de beauté et d'harmonie, elle est à réserver à la tribu et à elle seule. Contre l'ennemi, absolument tout est permis.

    Notre drame véritable n'est pas d'avoir des poussées de colère génocidaire, c'est d'être plus ou moins condamnés à ne jamais les suivre jusqu'au bout. Faut croire que nous avons encore beaucoup trop à perdre et que nous n'avons vraiment pas encore assez souffert pour nous contrefoutre de toute espèce d'élégance.

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  12. Il m'arrive de lire quelques commentaires sur fdesouche, uniquement parce que je suis curieux de ce que peuvent penser les lecteurs de ce site sur tel ou tel sujet. Certes, je ne suis (hélas) pas souvent surpris, mais cela arrive tout de même. Par exemple, récemment, quelqu'un avait laissé un commentaire qui disait simplement : "Sans commentaire". J'ignore s'il était conscient du caractère paradoxal de son message, mais en tout cas cela m'a beaucoup fait rire. Vous pensez sans doute que je m'amuse d'un rien, mais après tout, dans une époque où l'on a tant de raisons de se morfondre, ce n'est peut-être pas plus mal. Bref, cela n'avait rien à voir avec la discussion en cours, à laquelle je vous laisse d'ailleurs, mais j'avais envie de raconter cette histoire.

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  13. Sinon, il y a des moyens de coucher "divers" même quand on est en couple avec un blanc!

    http://pictureisunrelated.com/wp-content/uploads/2009/12/129051862414862785.jpg

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  14. Brisby, la souris9 janvier 2010 à 08:42

    Pour ne pas être en reste, je poste une partie de ce mail original.

    "Je tombe, par hasard au fil de liens musicaux, sur la mention de cette chanteuse Anaïs qui chante "Elle sort qu'avec des blacks".
    Ca me fait penser au besoin de modération dont on parlait, par rapport à Fdesouche et à ses hordes de natios, réacs, etc. pas toujours subtils. Je détaille.

    Voyons d'abord la vidéo. (http://www.dailymotion.com/video/x109mq_anais-elle-sort-qu-avec-des-blacks)
    Un truc qu'on ne peut pas nier : la chanson est jolie, avec un texte agréablement composé, et l'exécution est parfaite, jusqu'au solo de kazou et la partie "ragga".
    Le discours est certes discutable (notamment la mention de l'éternel bébé café au lait, sous-entendu tellement plus beau et surtout plus original que le bébé blanchâtre ordinaire. Voir : Baril de lessive Ariel vs. baril de lessive X), mais recèle aussi des choses que l'on peut comprendre : l'attrait de l'exotisme, l'attrait indéniable qu'exercent certains Noirs "proprets" (surtout des Antillais - "Elle aime bien le cliché antillais du gars bien habillé (...) Ils savent se parfumer pour qu'elle se laisse enivrer"), et leur passion de la danse; mais aussi la peinture d'une obsession ("Elle sort qu'avec des blacks, et quand son rêve se casse, un autre prend sa place").
    Au fond, ce qui est le plus énervant, c'est le contexte, à la fois particulier (la foule qui applaudit bêtement, la phrase lancée à la fin "Et elle a bien raison"...) et général (ras-le-bol de cette idéologie, de ces mensonges sur l'avenir rose et "café au lait" que représente FORCÉMENT ce genre d'union).
    Donc effectivement on est blasé, agacé, de voir ça, c'est normal.

    Pourtant, ça fait partie des choses qui pourraient bien passer si on n'était pas en France en 2009.
    Tous les peuples ont toujours vanté par-ci par-là l'exotisme et la différence, tant que ça reste ponctuel ce n'est rien que de très normal.
    Et puis surtout, quel contraste avec les gargouillements vomis par les chanteurs de rap ! Une jeune femme qui sait chanter, composer et jouer de la musique, je trouverai toujours ça plus intéressant qu'une bande de dégénérés qui hulule en faisant des moulinets de bras, personnellement. Inepties métissées ou pas..."

    Je le pense toujours. J'aime les odalisques de Delacroix, j'aime la fascination de l'ailleurs, je ne suis juste pas en mesure de l'aimer maintenant, parce qu'elle a tout balayé, tout remplacé, au lieu de rester marginale.

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  15. Brisby, la souris9 janvier 2010 à 08:51

    Ah, et dernière chose : ce qui me rend triste, aussi, c'est que je connais quelques exemples typiques de ces métissophiles, comme on les appelle, et elles me font plus pitié qu'autre chose.
    Elles ont des noms comme Stella ou Alison. Elles ont les cheveux bruns qu'elles teignent en blond, des anneaux dorés aux oreilles et de l'ombre à paupière mauve. Elles étaient avec moi en classe, mais elle n'avaient pas de très bonnes notes, même si elles travaillaient bien plus dur que moi pour se maintenir à niveau.
    Aujourd'hui, je les croise de temps en temps. Elles travaillent comme caissières au supermarché. Elles se souviennent de moi et sont contentes de me voir. Ma mère a pris l'habitude de passer à leur caisse, tant elles sont gentilles en toute simplicité, tant elles essaient de bien faire leur boulot de merde.

    Oui, à l'échelle nationale elles sont un danger, oui, elles ont tort et elles le regretteront... mais je n'arrive pas à les insulter derrière leur dos. Je trouve ça terriblement bas.

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  16. Elles sont les victimes de l'idéologie. Par mimétisme, par paresse, par crainte, elles se conforment à l'idéologie dominante alors qu'elles en sont les premières victimes.
    Rien de nouveau sous le soleil en somme. Juste l'envie de vomir qui progresse, un peu plus chaque jour.

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  17. Pour ma part je me contrefous que des blanches se tapent des noirs ou des arabes et pareil pour les blancs qui ouvrent les cuisses de la diversité (ne les oublions pas), ça ne "pose problème" que lorsqu'il y a procréation. N'oublions pas qu'en la circonstance il n'y a à proprement parler de "métissage" que lorsque ces transports engendrent de la descendance mulâtre. C'est là qu'on peut y voir un problème dans la mesure où lorsqu'une personne blanche décide de faire sa vie avec une personne issue-de-la-diversité (car comme chacun sait les blancs ne font pas partie de cette diversité-richesse à côté de laquelle il font tâche, ce qui suppoe qu'il vaut mieux qu'ils diluent leur spécificité raciale dans la créolisation qui ferait ressembler l'humanité à un conglomérat d'antillais si cette mixture devait venir à se généraliser, ce dont je doute fort), elle voue son potentiel reproductif à la prolongation de la race congoïde (les métis sont des nègres, Dieudonné est toujours passé pour un blackos mais jamais personne ne l'a pris pour un blanc, à l'instar d'Obama). Ce qui me chiffone quand une personne blanche fait ses gosses avec un noir c'est l'impression de gâchis que ce spectacle suscite en moi: je me dis "avec ses beaux yeux bleus et ses cheveux chatins elle auait pu engendrer deux ou trois beaux mômes qu'auraient été sans doute plus variés puisqu'il y aurait sans doute eu des couleurs d'yeux et de cheveux différentes pour chaque chiard alors que là ses mômes ont tous la même gueule avec leurs yeux noirs et les cheveux crépus ".

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  18. fdesouche, c’est tous les matins après déjeuner, avec un bon café. :-)
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    Déterrer les cadavres, les broyer, retourner la terre à la tractopelle, effacer les épitaphes, démolir les pierres tombales, défigurer, dévaster les vestiges pour que tout ait l'air vierge, pour que nous n'ayons plus rien à quoi nous rattacher, plus aucune signature, plus aucune légitimité à prononcer ces deux mots : chez nous ou simplement nous. Justifier l'invasion de partout par l'affirmation que nous venons de nulle part. Que nous ne devons rien à personne. Pas d'ancêtres, pas de terres, rien. Brouiller toutes les pistes, tous les repères. Leur objectif est de gommer ce nombril que l'on a sur le ventre. De nous faire oublier que l'on a de la mémoire. De nous rendre orphelins, pour finalement nous anéantir.
    (XYR)

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